Les perles de l'assurance...
- Afin d’éviter le pare-chocs de l’auto qui me précédait, j’ai renversé le piéton.
- Je vous serais obligé de m'adresser le courrier concernant mon accident à un de mes amis (Mr X) car, pour la passagère blessée, ma femme n'est pas au courant, et il ne vaut mieux pas. Je compte sur votre compréhension pour ne pas déshonorer un honnête père de famille.
- J'ai été victime d'un accident du travail alors que je faisais la sieste sous un pommier.
- Le piéton ne savait pas quelle direction prendre, alors je l’ai écrasé.
- L'accident est survenu alors que je changeais de fille.
- Je suis étonné que vous me refusiez de payer cet accident sous prétexte que je ne portais pas mes lunettes, comme indiqué sur mon permis. Je vous assure que ce n'est pas ma faute si j'ai renversé ce cycliste : je ne l'avais pas vu.
- Circonstances de l'accident : est passé à travers une porte vitrée lors de l'opération "portes ouvertes" de l'entreprise.
- Vous savez que mon taxi est transformé en corbillard et que je n'y transporte que des morts. Mes clients ne risquant plus rien, est-il bien nécessaire que vous me fassiez payer une prime pour le cas où ils seraient victimes d'un accident ?
- Vous me dites que Mlle X réclame des dommages-intérêts sous prétexte qu'elle a été légèrement défigurée après l'accident. Sans être mauvaise langue, il faut bien avouer que même avant l'accident, cette malheureuse n'avait jamais éveillé la jalousie de ses concitoyennes.
- J’ai signé le constat mais ça ne compte pas. Je n’avais pas mes lunettes et je n’ai rien vu de ce qui était dessus.
- En se relevant, le cycliste n’a formulé aucune déclaration intéressante ! Il se contentait de répéter "aïe, aïe, aïe" sur tous les tons.
- Le témoin est venu témoigner comme quoi il n’avait rien vu et rien entendu
- Nous n’avons pas de chance. C’est la troisième jambe qu’il se casse depuis notre mariage.
- Je vous adresse comme convenu mon constat amiable. Pour être sûr de ne rien oublier, j’ai mis une croix dans chaque case.
- L’homme prenait toute la rue. J’ai dû faire plusieurs crochets avant de le renverser.
- Il y a deux ans, en hiver, j’avais cassé mon pare-brise et vous aviez gelé mon bonus-malus. Je viens d’avoir un autre accident en juillet. Est-ce que le gel marche aussi en été ?
- J’avoue que j’ai traversé le carrefour sans regarder s’il venait quelqu’un. Mais j’étais passé à ce même carrefour moins d’une heure plus tôt et il n’y avait personne.
- C’est le troisième courrier que je vous adresse. Il me revient chaque fois avec la mention : "N’habite plus à l’adresse". Je suppose que vous avez changé votre agence de place ! Veuillez me le faire savoir en répondant à cette quatrième lettre.
- Si j’ai reconnu ma responsabilité sur le champ, c’est que ce monsieur doit mesurer dans les deux mètres, peser dans les 100 kilos et que je n’avais aucune chance de lui faire entendre raison malgré mon évidente supériorité intellectuelle.
- Il était mort dans un état grave.
- Mon assureur m’avait téléphoné pour me dire qu’il m’envoyait un avenant. Le lendemain, j’ai reçu la visite d’un inspecteur de la compagnie, pas avenant du tout.
- Je ne vois pas pourquoi vous me reprochez de ne pas avoir porté mon casque lors de mon accident étant donné que c’est mon pied qui a été écrasé.
- Il faut dire à ma décharge que le poteau que j'ai buté était caché par l'invisibilité du brouillard.
- J’étais sûr que le vieil homme n’atteindrait pas l’autre côté de la rue quand je l’ai heurté.
- Un piéton m’a heurté et a roulé sous ma voiture.
- A votre avis, est-il préférable d'acheter un chien méchant qui risquera de mordre les gens mais protégera votre maison contre les voleurs ou de garder mon vieux toutou. Je vous pose la question parce que de toutes façons c'est vous qui paierez les pots cassés, soit en indemnisant les blessés, soit en remboursant les objets volés.
- Une auto invisible est sortie de nulle part. Elle a heurté la mienne et a disparu.
- Ma voiture gênant la circulation, un Portugais m'a aidé à la mettre sur le trottoir, ainsi que ma femme qui rentrait de son travail.
- Depuis ma chute, je ne peux plus me déplacer. Veuillez m'indiquer la marche à suivre.
- Je ne suis pas responsable du refus de priorité puisque je n'avais pas vu venir la voiture, vous pensez bien que si je l'avais vue je me serais arrêté.
- Revenant de l’enterrement de ma pauvre femme, je roulais allègrement...
- Le camion s'est sauvé précipitamment sans montrer ses papiers.
- Depuis son accident, ma femme est encore pire qu'avant. J'espère que vous en tiendrez compte.
- Malgré ma fracture au poignet, j'ai pris mon courage à deux mains.
- Ils m’ont trouvé 2,10 grammes d’alcool dans le sang. Sur 6 à 8 litres de sang qu’on a dans le corps, vous avouerez que ce n’est pas tellement.
- Avant d’aborder le carrefour, j’avais pris soin de regarder à ma droite (rien), à ma gauche (toujours rien). C’est alors que j’ai quelque peu bousculé un piéton qui traversait devant moi. On ne peut quand même pas regarder partout à la fois.
- Je vous adresse la facture que vous m’avez réclamée. Si vous ne la recevez pas, veuillez me le faire savoir.
- Pour l’instant je n’ai aucune assurance chez vous sinon celle de ma considération distinguée.
- C’était jour de verglas ! Je circulais très lentement dans ma voiture quand un piéton m’a doublé à toute vitesse, par la droite et sur les fesses.
- Mon mari est pour le moment décédé.
- Mon fils est tombé à vélo et a eu le front ouvert et le pantalon déchiré. Le docteur l’a recousu et il retournera à l’école quand il sera repassé.
- Je n’ai guère eu le temps de voir ce piéton car il a immédiatement disparu sous ma voiture.
- J’avoue que je n’aurais pas dû faire demi-tour sur l’autoroute avec ma caravane. Mais j’avais oublié ma femme à la station service.
- J'ai heurté brutalement l'arrière de la voiture qui me précédait. Mais grâce à mon casque, ma blessure au poignet est sans gravité.
- Vous m'écrivez que le vol n'existe pas entre époux. On voit que vous ne connaissez pas ma femme.
- Je ne suis pas du tout d'accord sur le montant que vous m'allouez pour les bijoux. Ça ne représente même pas la somme des deux choses de mon fils, dont je vous ai envoyé les photos.
- Pour les blessures de ma femme je vous envoie ci-joint le certificat que j'ai pu arriver à avoir par mon docteur. Je les mets donc sous réserve en attendant que vous m'écriviez combien elles peuvent me rapporter environ.
- Ayant prononcé quelques invectives à l’adresse de cette automobiliste, celle-ci m’a semblé froissée, mais moins pourtant que la tôle de ma voiture.
- Ayant perdu le contrôle de mon véhicule en raison du verglas, celui-ci alla mourir très doucement dans le mur du cimetière.
- Vous me dites que d'après le Code Civil, je suis responsable des bêtises de mes enfants. Si c'est vrai, les personnes qui ont écrit cela ne doivent pas avoir, comme moi, neuf enfants à surveiller.
- J'ai heurté une voiture en stationnement et je me suis bien gardé de me faire connaître auprès de l'automobiliste. J'espère que vous serez content et que vous pouvez faire un petit geste en m'accordant un bonus supplémentaire.
- J'ai bien reçu la fiche de mon épouse, je ne manquerai pas de vous renvoyer cette dernière dûment remplie par mes soins.
- En avançant, j'ai cassé le feu arrière de la voiture qui me précédait. J'ai donc reculé, mais en reculant j'ai cabossé le pare-chocs de la voiture qui me suivait.
- Je vous témoigne mon grand mécontentement, vous mettez tellement de temps à me rembourser mes accidents que c'est toujours avec celui d'avant que je paye les dégâts de celui d'après, alors n'est-ce pas que ce n'est pas sérieux de votre part.
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